Des amitiés! Des trahisons! Des morts! De nombreux morts d'ailleurs! Tout mes souvenirs ne se résument qu'à cela.

Un bon nombres d'années je me suis isolé du monde extérieur et des pleutres qui l'occupait. À me nourrir du sang de pauvres nomades qui peuplent ces terres, d'insectes et de créatures bizarres qui hantent ces lieux.

Mais je suis las, las d'être reclus comme un ver de terre alors que la seule prononciation de mon nom inspirait la crainte et la peur.

Beaucoup ne me connaissent pas, beaucoup m'ont oubliés et beaucoup n'ont pas pû survivre n'ayant pas le sang qui coule dans mes veines.

J'en appelle à mes frères s'ils sont toujours vivant, à mes anciens rivaux également et aux nouveaux gens qui peuplent ces lieux, je me nomme Ortanko, on m'a affublé d'un surnom du Fléau, qui je dois l'avouer me conviens à merveille, j'ai besoin d'un toit et d'un lieu pour renaître.

Mais ne vous faîtes pas de fausses idées, je suis un guerrier, un combattant, j'aime le sang et la mort, si on me paye pour vous poignarder dans le dos, je le ferai. Voilà l'honnêteté qui me caractérise.

Qui osera m'accueillir?

À toi VULPES, petit être frêle, fragile et mort par mes mains. Je te remercie de me redonner plaisir en la chair.

À très vite

Alors qu'Ortanko se baladait tranquillement dans la plaine de la confrérie, il tomba sur un visage qui ne lui était pas inconnu, un fou du bus du plateau qui s'amusait à insulter tout les gens qu'il croisait. N'écoutant que son courage Ortanko sauta sur le dénommé Cizio Zuke.

N'ayant qu'une petite arme pour s'attaquer à lui Ortanko ne pû occire cet homme mais il le laissa gisant au sol dans une mare de sang avec quelques points de vie pour seule consolation.

Ce n'est qu'une partie remise, Le Fléau est un chien enragé qui ne demande qu'a mordre.

Le Fléau lui, n'a pas besoin d'une armure

Non mais il court il court le fléau pour pas se manger mes phalanges dans ses chicos après m'avoir suriné. Et ça vient me traiter de couard ? Faut pas te carapater comme ça biquet.